Fanny Mendelssohn, ou le destin contrarié
Fanny Mendelssohn, figure majeure parmi les trop rares compositrices de l’histoire de la musique.
Un programme pour cordes romantique joué-dirigé sous les doigts de la violoniste Antje Weithaas.
CORDES ROMANTIQUES
Fanny Mendelssohn Ouverture en ut majeur
Mendelssohn Concerto pour violon n° 2 op. 64
Schubert Quatuor à cordes D. 810 « La Jeune fille et la mort » (version pour cordes seules, arrangement de Gustav Mahler)
L’un des plus célèbres concertos romantiques, une compositrice encore méconnue, un fulgurant chef-d’œuvre de Schubert : pour ses débuts en joué-dirigé avec l’orchestre, la violoniste Antje Weithaas trouve un programme à la mesure de sa connaissance du texte, de son intelligence musicale et de son impressionnante souveraineté technique. Aussi précoce qu’inspiré, Felix Mendelssohn laisse derrière lui pas moins de 300 œuvres, dont ce scintillant concerto pour violon n° 2, devenu un classique dès sa création. Si Felix s’établit très vite comme une figure célébrée du monde musical, la gloire sera moins évidente pour sa sœur : « Fanny, telle que je la connais, n’a jamais souhaité devenir compositeur ni avoir une vocation pour cela ; elle est trop femme », écrit Felix à leur mère… opinion démentie par les quelques opus que Fanny osera publier un an avant sa mort.
PRODUCTION Orchestre de chambre de Paris
Fanny Mendelssohn, figure majeure parmi les trop rares compositrices de l’histoire de la musique.
Le Quatuor Belcea pour l’un des chefs-d’œuvre du répertoire chambriste de Schubert.
Le multi récompensé violoncelliste Edgar Moreau et le Quatuor Tchalik pour une conversation Bach – Schubert.
Un trio presque fraternel pour marier le temps d’un dimanche matin Schubert et Dvořák.