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Wagner Prélude de Tristan et Isolde Schumann Concerto pour piano op. 54 Entracte Mahler Symphonie n° 4
Le Bayerisches Staatsorchester est l’orchestre résident de l’Opéra d’Etat de Bavière de Munich. C’est aussi l’un des plus anciens et des plus beaux que l’on puisse entendre en Europe et dont Vladimir Jurowski est le directeur musical depuis 2020. Pour cette première venue ensemble, ils ont imaginé de débuter par le Prélude de Tristan et Isolde puis par le concerto pour piano de Schumann avec Yefim Bronfman où le phrasé élégant devrait faire merveille. La seconde partie sera consacrée à Mahler et à sa Quatrième symphonie. C’est l’une des plus courtes de son catalogue où le musicien, renonçant aux chœurs de ses trois opus précédents, a ici choisi une soprano pour voix soliste, ce soir interprétée par la franco-danoise Elsa Dreisig. Bercée de couleurs lumineuses, l'œuvre renvoie à l’enfance, à l’innocence. Elle se conclut par un lied réorchestré, Das himmlische Leben (La Vie céleste), tiré du cycle Des Knaben Wunderhorn (Le Cor merveilleux de l'enfant), composé près de cinq ans auparavant. Le texte décrit les joies du Paradis vues par les yeux d’un enfant. Cette Quatrième, par sa grâce et son expression presque pastorale, s’est vite imposée et est devenue l’une des symphonies les plus jouées de Mahler.
L'un des plus grands pianistes actuels, mis à l’honneur jusque dans la culture pop est en même temps un musicien discret, qui rêve de jouer ses récitals derrière un rideau pour faire passer la musique avant l’interprète.