Louise Bertin Une artiste d'exception
Louise Bertin fait figure d'exception au début d'un XIXe siècle où bien peu de femmes parviennent à s'imposer en musique ou ailleurs...
Grâce à l'heureuse initiative du Palazzetto Bru Zane, L’œuvre de la compostrice Louise Bertin est remis dans la lumière.
Karine Deshayes | Fausto
Karina Gauvin | Margherita
Ante Jerkunica | Mefisto
Nico Darmanin | Valentino
Marie Gautrot | Catarina
Diana Axentii | Una strega / Marta
Thibault de Damas | Wagner / Un banditore
Christophe Rousset | direction
Les Talens Lyriques
Chœur de la Radio Flamande
Opéra chanté en italien, surtitré en français et en anglais.
Fausto, opera semi-seria en quatre actes créé au Théâtre-Italien de Paris en 1831, combine deux situations d’une grande rareté dans le paysage lyrique romantique. Il est l’œuvre d’une femme et, bien qu’ouvrage italien par sa langue, son style et son genre, il a été composé par une Française. Deux ans après la publication des Huit Scènes de Faust d’Hector Berlioz, Louise Bertin s’inspire à son tour de la pièce de Goethe et démontre la modernité de ses ambitions esthétiques. Déprogrammé après seulement trois représentations, Fausto mérite aujourd’hui une deuxième chance de s’exprimer. Karine Deshayes et Karina Gauvin notamment, soutenues par Christophe Rousset et ses Talens lyriques, auront à cœur de mettre toute leur énergie à cette renaissance.
Coproduction Théâtre des Champs-Elysées / Palazzetto Bru Zane / Les Talens Lyriques / Chœur de la Radio Flamande, dans le cadre du Xe Festival Palazzetto Bru Zane Paris
Louise Bertin fait figure d'exception au début d'un XIXe siècle où bien peu de femmes parviennent à s'imposer en musique ou ailleurs...
Le passionnant exercice d’un cours public d’interprétation vocale en compagnie de la mezzo Karine Deshayes.
Après Thaïs et avant Grisélidis en fin de saison, découvrons ce rare Hérodiade, un ouvrage baigné de sensualité autant que de mysticisme.
Un siècle de musique au féminin grâce aux pépites découvertes par la Fondation Palazzetto Bru Zane et à l’enthousiasme d’Hervé Niquet.